jeudi 8 janvier 2015

Attentat au siège de Charlie Hebdo : "journée noire pour la liberté d’expression" Rassemblement à St-Dié-des-Vosges.

"Nous sommes Charlie " 

Un vent de démocratie a soufflé sur la Déodatie !
Un grand merci à toutes et à tous qui avez répondu présent et contribué à la réussite de cet événement citoyen.

Pour Amnesty International, la liberté d’expression est une liberté fondamentale et indispensable à la construction d’une société juste et respectueuse de son peuple, à un état de droit.

Voici quelques photographies du regroupement citoyen de cet après-midi.

https://picasaweb.google.com/patrick.antonot/RassemblementCharlieASaintDieDesVosgesDuSamedi10Janvier2015#slideshow/6102808101529953170







En hommage aux victimes.  Afin de réaffirmer les valeurs de liberté, d’égalité, de fraternité et de laïcité, un collectif citoyen associé à la ville de Saint-Dié-des-Vosges invite à un rassemblement républicain à la Tour de la liberté(d'expression) le samedi 10 janvier à 16h à Saint-Dié des Vosges. 





L’attentat meurtrier commis ce matin par des hommes armés dans les bureaux parisiens du journal Charlie Hebdo est une atteinte effroyable à la liberté d’expression.
  C’est une journée noire pour la liberté d’expression et pour la presse libre. Mais plus que tout, c’est une tragédie humaine insensée »

Stephan Oberreit, directeur d’Amnesty International France.

Cet attentat, perpétré par des tireurs masqués qui ont fui les lieux après une fusillade avec la police, aurait fait 13 morts et de nombreux blessés dans les locaux du journal.

  Ce crime atroce visait à assassiner des journalistes, réprimer la liberté d’expression et répandre la peur. Il doit être fermement condamné, et les autorités françaises doivent s’assurer que les responsables soient traduits en justice lors d’un procès équitable. Les journalistes menacés doivent être protégés, ils doivent pouvoir continuer leur travail sans craindre pour leur vie. »

Stephan Oberreit

La liberté d’expression englobe aussi la diffusion d’idées qui peuvent être considérées comme offensantes.

À la suite de cet attentat, le gouvernement français a convoqué une réunion de crise et a relevé le plan Vigipirate au plus haut niveau.
Amnesty International va continuer à surveiller l’évolution de la situation et la réaction du gouvernement.



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